Elle transmet le bagage chorégraphie qu’elle transporte depuis l’enfance
Amel commence la danse dès son plus jeune âge en se formant au moderne jazz et à la danse contemporaine au conservatoire de Tremblay-en-France, puis à des cours d’expression scénique et de théâtre . A l’adolescence, elle intègre la compagnie FREE JAZZ de Pascale Tobio-Hautesser et plus récemment la compagnie contemporaine Taiwanese “les petites choses productions” en tant qu’interprète pour “Je suis en forme” porté par la chorégraphe Sunny Yang.
Elle se forme également aux Etats-Unis au Broadway Dance center et continue d’enrichir et approfondir ses connaissances en effectuant des stages et workshop auprès de compagnies étrangères et françaises, comme la Jacob Jonas Company, Peeping Tom, Maguy Marin, et Yuval Rozman entre autres.
Pédagogue et chorégraphe autodidacte, Amel enseigne depuis 2014 la danse à Paris ainsi qu’en banlieue parisienne et dans toute la France auprès d’un public divers et variés. Elle transmet le bagage chorégraphique qu’elle compose depuis l’enfance à travers une fusion de techniques contemporaines et jazz en s’aidant de mouvements urbains très instinctifs.
Ses pièces chorégraphiques sont toujours tintées d’intensités, d’empreintes d’héritages et de poésie. Amoureuse du théâtre et grandement influencé par Chaplin, Buster keaton, Bourvil ainsi que tous ces grands chorégraphes expressionnistes contemporains et post-moderne, elle compose sa matière grâce à un héritage culturel pop, contemporain et urbain tout en alliant l’actualité et les demandes de la scène contemporaine.
Amel attache une importance à la transmission et à l’enseignement, qu’elle estime comme une source riche, inspirante et complémentaire à son travail de chorégraphe et danseuse.
Elle transmet le bagage chorégraphie qu’elle transporte depuis l’enfance
Amel commence la danse dès son plus jeune âge en se formant au moderne jazz et à la danse contemporaine au conservatoire de Tremblay-en-France, puis à des cours d’expression scénique et de théâtre . A l’adolescence, elle intègre la compagnie FREE JAZZ de Pascale Tobio-Hautesser et plus récemment la compagnie contemporaine Taiwanese “les petites choses productions” en tant qu’interprète pour “Je suis en forme” porté par la chorégraphe Sunny Yang.
Elle se forme également aux Etats-Unis au Broadway Dance center et continue d’enrichir et approfondir ses connaissances en effectuant des stages et workshop auprès de compagnies étrangères et françaises, comme la Jacob Jonas Company, Peeping Tom, Maguy Marin, et Yuval Rozman entre autres.
Pédagogue et chorégraphe autodidacte, Amel enseigne depuis 2014 la danse à Paris ainsi qu’en banlieue parisienne et dans toute la France auprès d’un public divers et variés. Elle transmet le bagage chorégraphique qu’elle compose depuis l’enfance à travers une fusion de techniques contemporaines et jazz en s’aidant de mouvements urbains très instinctifs.
Ses pièces chorégraphiques sont toujours tintées d’intensités, d’empreintes d’héritages et de poésie. Amoureuse du théâtre et grandement influencé par Chaplin, Buster keaton, Bourvil ainsi que tous ces grands chorégraphes expressionnistes contemporains et post-moderne, elle compose sa matière grâce à un héritage culturel pop, contemporain et urbain tout en alliant l’actualité et les demandes de la scène contemporaine.
Amel attache une importance à la transmission et à l’enseignement, qu’elle estime comme une source riche, inspirante et complémentaire à son travail de chorégraphe et danseuse.
L’objectif étant de questionner, toucher et réveiller tous les sens
En 2019, elle monte sa première compagnie de danse, DANCEHER, compagnie qui permet à des femmes et jeunes femmes amatrices de danse de comprendre ou se réapproprier leurs corps tout au long de l’année. La compagnie lui permet aujourd’hui de proposer des ateliers sur la réappropriation du corps par le mouvement auprès des femmes victimes de violences.
En parallèle, elle intervient régulièrement en tant qu’artiste pédagogique dans le cadre d’ateliers au sein de structures publics ou privées, avec toujours cette nécessité de révéler par la poésie, une connaissance du mouvement et de la création.
Amel a aussi chorégraphié, dansé et crée de la direction de mouvement dans plusieurs clips vidéo, sur scènes et en plateau TV pour des artistes urbains et internationaux telles que Adèle Castillon, Marwa loud, Naza, DJ Arafat, Saysz, Musa (artiste espagnole), Maska (sexion d’assaut), Kriss bad (artiste africain), ainsi que pour des chorégraphes français comme Mounir Amhilm ou Nassim Baddag.
Ces expériences dans le milieu commercial lui permettent aujourd’hui de proposer des créations accessibles à tous grâce à une écriture directe et percutante. L’objectif étant de questionner, toucher et réveiller tous les sens.
Après 2 créations, “Aintiqal” et “La parole des vents”, Amel se lance dans la co-écriture d’un duo avec Emma Démaret : J’ai perdu mon corps afin d’explorer comment notre société hyperconnectée influence à la fois notre propre développement et celui des autres, notamment durant l’adolescence, période de construction intense et tumultueuse.
L’objectif étant de questionner, toucher et réveiller tous les sens
En 2019, Amel fonde DANCEHER, une compagnie dédiée aux femmes et jeunes femmes pour les aider à comprendre et se réapproprier leur corps. Elle y développe aussi des ateliers de mouvement destinés aux femmes victimes de violences.
En parallèle, elle intervient comme artiste pédagogique dans diverses structures, transmettant une approche poétique du mouvement et de la création.
Amel a chorégraphié, dansé ou assuré la direction de mouvement pour des clips, scènes et plateaux TV aux côtés d’artistes comme Adèle Castillon, Marwa Loud, Naza, DJ Arafat, Musa, Maska, ou encore pour des chorégraphes français tels que Mounir Amhilm ou Nassim Baddag.
Ces expériences “commerciales” nourrissent aujourd’hui une écriture directe, accessible et sensorielle, toujours avec l’objectif de questionner, toucher et réveiller les sens.
Après Aintiqal et La parole des vents, elle co-écrit actuellement un duo avec Emma Démaret, J’ai perdu mon corps, autour de l’influence de l’hyperconnexion sur le développement individuel, notamment à l’adolescence.
Réalisé par Amélya Tounsi pour Amel Khaies